Députée

Dans le déroulement de notre visite, nous avons constaté, les moyens pédagogiques mis à la disposition des élèves, particulièrement dans le domaine numérique permettant des simulations d’opérations de terrain très efficaces. 
Nous avons pu constater, la créativité des instructeurs, dans le domaine de la diffusion de cours appliqués à l’aide de caméras.
De la même manière, nous avons visité, le centre opérationnel, en compagnie du colonel Luzet commandant le groupement de gendarmerie départementale de Haute-Marne.
Nous ne pouvons que nous féliciter d’avoir sur notre territoire cette école qui forme les futurs gendarmes qui veilleront et assureront dans l’avenir, la sécurité des Français.
Un grand merci pour l’accueil chaleureux qui nous a été réservé.

Cérémonie de la libération d'Andelot : Laurence Robert-Dehault et Frédéric Fabre :

C’est avec émotion que nous rendions hommage aux Françaises et Français tombés pour préserver la liberté de nos villages et de notre Nation.
Quelques photos de cette journée.

Nous participions à la cérémonie du baptême de sortie d'école de la "promo 512". 
C’est avec émotion que 116 élèves ont reçu leurs galons de gendarme. 
Nous leur souhaitons une pleine réussite, dans cette vie professionnelle qu’ils ont choisie par vocation pour servir la Nation.

Merci à M. Pascal Bourbon directeur de l'établissement qui m'a fait visiter l'ensemble de la structure.
J'ai été extrêmement impressionnée par les moyens dont dispose cet établissement, ainsi que par l’ambiance particulièrement familiale et conviviale qui y règne. 

Un manque de considération et d'attention de l'État

J'ai été également alarmée, par le manque de considération et d'attention dont cet établissement souffre.
Je vais poser des questions écrites à l'Assemblée nationale par rapport à des problématiques graves qui ne sont pas prises en compte par la région en particulier qui finance.

L'objectif : donner son nom à une réforme ?

C’est ce que nous propose, Gérald Darmanin le médiatique ministre de l’Intérieur. 
Désireux de réformer la police, sans aucune consultation, des femmes et les hommes de terrain.

À l’heure ou chaque citoyen constate l’impuissance de ce gouvernement à faire respecter les lois existantes.
À l’heure, des grandes vacances à la prison de Fresnes et de « l’open bar » pour les vendeurs de crack dans les rues de nos grandes villes.
À l’heure « non-expulsions » des clandestins ou des délinquants binationaux.
À l’heure d’une crise de l’énergie sans précédent, mettant en péril « les restes de notre industrie ».
Réformer la police apparaît, à coup sûr, comme la volonté d’un ministre désireux de donner son nom à une réforme, plus que de répondre aux réels besoins des policiers, des victimes et plus généralement des Français.

Le président de la fête M. Thomas Courageot a eu les mots justes, soulignant 
« L’agriculture aujourd’hui est plus difficile que celle de mon grand-père. On nous a incités à faire du bio, mais aujourd’hui on arrive à saturation. On ne peut pas se permettre de changer de modèle tous les trois ans. »
Comment ne pas être d’accord avec la colère de cette profession, laminée depuis tant d’années par les gouvernements successifs qui n’ont pas pris la mesure du poids des exigences des normes législatives européennes dans une mondialisation aux normes débridées.
Aucune réelles mesures pour faire barrage aux importations hors normes, venant concurrencer en prix les productions qualitatives de nos agriculteurs français.
Pas de vision de l’avenir, qui engendre un manque de décision, de bon sens.
Par exemple créer des réserves d’eau en quantité suffisante pour faire face aux périodes de sécheresse. 
L’Espagne l’a fait depuis des décennies et ses agriculteurs et producteurs de fruits et légumes sont mieux armés pour affronter les périodes que nous vivons. 
La conséquence ? Leurs exportations, dans bon nombre de produits agricoles, sont meilleures que les nôtres.
Nous entendons bien porter haut et fort ces sujets à l’Assemblée nationale, car de tout temps nous avons alerté sur le manque de vision de ceux qui ont eu en charge l’avenir de la nation.
Les Hauts-Marnais et les Français nous ont élus pour cela.
Aussi, sur tous ces sujets, délaissés depuis tant d’années, nous serons en première ligne pour défendre notre vision de l’avenir, et pour mettre en œuvre toutes les mesures visant à enrayer le déclin de notre nation que ressent une majorité de Haut-marnais et de Français.

Le journal de la Haute-Marne évoquait en quelques lignes notre présence